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CHAOS CALME

Une immersion dans le quartier ”La Cayolle" à Marseille.

Là, il a fallu trouver le passage.  Aller au cœur.

Les femmes m’ont les premières ouvert la porte, 

les anciennes. 

Alors pour voir, il a fallu écouter, 

écouter pour voir. 

Être tenace, ébranlable mais rester vigilante.

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

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ET TOUT CE BLEU OU S’ÉGARER

Pour raconter le Borinage, il a fallu faire silence

et se placer au bord des choses.
Faire un pas de côté pour mieux t
émoigner.

Permettre un nouveau regard

tantôt plus âpre, tantôt plus vrai, tantôt plus doux.

  Un autre territoire semble se révéler.

 

 Avec le soutien de la bourse aux Artistes investis en Province de Hainaut.

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DES VOIX SILENCIEUSES

Projet photographique initié lors d'une résidence au Monastère d’Halsnoy en Norvège.

 

Là, rien ne luit

Tout est dense et mystérieux

Il faut s’enfoncer dans les failles

La trace d’histoires finit par se donner à voir

Quelque chose se consume

 

Avec le soutien de Wallonie-Bruxelles International.

 

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THOZÉE

Cette série est née lors d'une résidence 

de création au Château de Thozée

lieu intimement lié à la vie et à l’œuvre

du peintre et graveur namurois Félicien Rops

(1833-1898)

Le poète Charles Baudelaire y séjourna

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DIARY III

DIARY III

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DIARY II

DIARY I

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DIARY I

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MARCASSE

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PORTRAIT DE CAMPAGNE

Comprendre la lente mutation que connaît l’agriculture familiale est l’idée de ce travail. Durant une année, des hommes et des femmes m'ont révélé leur quotidien. Le photographier m'a obligé à m'approcher.

 

Ici, on ne triche pas, pas de superflu, des silences ou des mots simples pour dire l'essentiel : les difficultés actuelles du métier mais aussi la passion, l'indépendance et le bonheur de l'existence rythmée par la nature. Leur savoir est précieux mais négligé.

 

Réponse intuitive à ce monde de bon-sens

qui tend malheureusement à disparaître.

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LE PORT DE CALABAN CORO

Chaque soir, des pirogues quittent le port de Calaban Coro

près de Bamako au Mali et vont chercher le sable

à la frontière guinéenne.

 

Le matin, c’est l’effervescence.

Des équipes d’hommes, de femmes et d’enfants s’y côtoient à longueur de journée pour décharger ce sable qui sera par la suite utilisé pour les travaux de construction en ville.

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